Basic Para
A 05h30, 23 janvier, la session 57 du cours de parachutisme de niveau élémentaire a débuté comme elle le fait toujours, avec un test physique de parachutiste. Tous ont relevé haut la main ce défi, ce qui a présagé un très bon cours avec un superbe esprit d’équipe. Parmi les 48 stagiaires de tous grades, la majorité sont des fantassins du Royal 22e Régiment. Par contre, plusieurs ingénieurs, artilleurs, techniciens d’approvisionnement, et d’autre métiers ont fait de ce groupe une équipe diversifiée.
Cette équipe, pleine d’énergie et d’enthousiasme, a fait face à chaque expérience avec détermination et cohésion. Durant la première semaine, nous avons concentré nos efforts à l’apprentissage des techniques de sorties de l’avion, le vol dans les airs supporter par le parachute CT-1 (un des parachutes les plus sécuritaires au monde), les mesures de sécurité, les mesures d’urgences et le maniement de l’équipement. En plus, nous avons profité de l’entraînement physique intéressant mener par l’adjoint du cours, l’adj Lamarre, et les candidats du cours Parachute Instructor. Au deuxième semaine, nous avons mis à l’épreuve certaines de nos connaissances en attaquant le tour de saut, 32 pieds dans les airs, pour permettre aux instructeurs d’évaluer nos sorties de l’aéronef, supporter par nos harnais et les lignes de suspensions. Pour la majorité du groupe, qui ont complété le cours de pré-para au 3e R22eR, ce n’étais pas la première fois que nous avions eu ce plaisir. Par contre, avec notre nouveau encadrement à CPC et notre brève expérience antérieure, nous avons effectué les sauts du tour avec et sans équipement pour atteindre la norme et pour nous qualifier à passer au J-stage, ou le stage de saut.
Cet entraînement est encadré pour créer des conditions réalistes afin de bien préparer les stagiaires pour le défi du saut réel, affirme le cplc Gonthier du 5e BNS. "On se pratique de façon réaliste pour faire de quoi de vrai." C’est un sentiment répandu parmi ses collègue. Avec un peu plus de pratique aux atterrissages, des vols, et aux procédures dans l’avion, nous avons complété les tests pour, à la fin de la deuxième semaine, nous qualifier pour le J-stage.
Les stagiaires prêts et volontaires, la température n’a pas voulu coopéré la première journée du J-stage. Avec des vents forts, et un Hercule à notre service, nous avons attendu avec impatience. Pour certains, cette qualification va servir à influencer leur carrières. Certains visent devenir arrimeur de parachute. D’autres visent être affecté à une unité ou sous-unité parachutiste. Quelques un, avec de l’expérience civile en parachutisme de chute libre, veulent se joindre à l’équipe Sky Hawks. Mais tout d’abord, tous veulent complété leur cours, se jeter en bas d’un avion plusieurs fois, et retourner à leurs unités des parachutistes fiers et accomplis. Airborne!
Cette équipe, pleine d’énergie et d’enthousiasme, a fait face à chaque expérience avec détermination et cohésion. Durant la première semaine, nous avons concentré nos efforts à l’apprentissage des techniques de sorties de l’avion, le vol dans les airs supporter par le parachute CT-1 (un des parachutes les plus sécuritaires au monde), les mesures de sécurité, les mesures d’urgences et le maniement de l’équipement. En plus, nous avons profité de l’entraînement physique intéressant mener par l’adjoint du cours, l’adj Lamarre, et les candidats du cours Parachute Instructor. Au deuxième semaine, nous avons mis à l’épreuve certaines de nos connaissances en attaquant le tour de saut, 32 pieds dans les airs, pour permettre aux instructeurs d’évaluer nos sorties de l’aéronef, supporter par nos harnais et les lignes de suspensions. Pour la majorité du groupe, qui ont complété le cours de pré-para au 3e R22eR, ce n’étais pas la première fois que nous avions eu ce plaisir. Par contre, avec notre nouveau encadrement à CPC et notre brève expérience antérieure, nous avons effectué les sauts du tour avec et sans équipement pour atteindre la norme et pour nous qualifier à passer au J-stage, ou le stage de saut.
Cet entraînement est encadré pour créer des conditions réalistes afin de bien préparer les stagiaires pour le défi du saut réel, affirme le cplc Gonthier du 5e BNS. "On se pratique de façon réaliste pour faire de quoi de vrai." C’est un sentiment répandu parmi ses collègue. Avec un peu plus de pratique aux atterrissages, des vols, et aux procédures dans l’avion, nous avons complété les tests pour, à la fin de la deuxième semaine, nous qualifier pour le J-stage.
Les stagiaires prêts et volontaires, la température n’a pas voulu coopéré la première journée du J-stage. Avec des vents forts, et un Hercule à notre service, nous avons attendu avec impatience. Pour certains, cette qualification va servir à influencer leur carrières. Certains visent devenir arrimeur de parachute. D’autres visent être affecté à une unité ou sous-unité parachutiste. Quelques un, avec de l’expérience civile en parachutisme de chute libre, veulent se joindre à l’équipe Sky Hawks. Mais tout d’abord, tous veulent complété leur cours, se jeter en bas d’un avion plusieurs fois, et retourner à leurs unités des parachutistes fiers et accomplis. Airborne!
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